Le long week-end est une opportunité de se distraire et aussi de joindre l’utile à l’agréable. Durant ce week-end du 13 au 15 août 2022, nous avons pris la décision d’effectuer un déplacement afin d’occuper utilement le temps. Nous n’avons pas trouver mieux que d’emprunter un bus d’une compagnie qui fait beaucoup parler d’elle sur le réseau routier Burkinabè. Avec un passager aussi passionné que nous sommes, nous nous sommes rendus dans la capitale économique Burkinabè, Bobo-Dioulasso.
Récit de voyage !
Il est 6h30 en ce jour 14 août 2022 à Ouagadougou. Une pluie matinale arrosait la capitale mais cela ne nous empêche pas de nous rendre à la gare d’une compagnie de transport sise à la zone d’activités diverses (ZAD) derrière le Salon international de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO), qui officie il y a cinq années dans le domaine du transport. Cette société de transport bien connue pour la qualité de ses services au profit de sa clientèle continue-t-elle dans la même dynamique ? Pour vérifier cela, nous suivons un passager durant le trajet pour nous enquérir de la réalité des faits. « Elitis EXPRESS», car c’est de cette compagnie de transport qu’il s’agit, a d’ores et déjà affrété le premier car dans l’enceinte de la gare principale de Ouagadougou. C’est ce car qui inaugure les départs du jour sur la ville de Sya, Bobo-Dioulasso. 7h30, c’est l’heure exacte du départ. Des clients sont fouillés à l’entrée principal par les hommes de sécurité commis à cette tâche. D’autres clients procèdent à l’enregistrement de leurs billets auprès des guichetières. Dans la cour, des bagagistes, étiquettent les bagages sous le numéro du billet du voyageur afin d’éviter toute perte ou toute confusion d’effets. Certains passagers qui ont fini les formalités de leur voyage, attendent dans la salle d’attente où un écran géant leur permet de passer le temps, le temps de suivre l’actualité nationale et internationale sur une chaine bien connue. Nous approchions un passager, pour échanger avec lui. Il est accessible et bien courtois à notre endroit. Il nous décline son identité, Stanislas Ouédraogo dit Gordonn, nous dit-il. « J’embarque dans le car de 7h30, il est l’heure, il faut que je finisse les formalités avant de vous écouter monsieur. Vous savez qu’ici, il n’y a pas de retard. Ici l’heure, c’est l’heure », nous laisse-t-il entendre. Nous acceptons sa proposition sans hésiter. Stanislas Ouédraogo a achevé les formalités idoines à son voyage et se dirige vers la sortie principale de la salle d’attente. Il est prêt pour l’embarquement. Sans bousculade, il présente son billet à un personnel de la gare muni d’un appareil électronique procédant à des contrôles et au scannage du billet. Après vérification, il franchit les escaliers du bus et s’installe royalement sur son siège numéro 30.
A l’intérieur du car, une hôtesse est prête pour aider à retrouver les sièges des différents passagers qui souhaiteraient de l’aide. « Chaque passager s’installe sur le siège dont le numéro est inscrit sur son billet5», nous confie l’hôtesse avec un sourire qui égaie matinalement ceux qui se seraient réveillés du mauvais pied. Il est 7h28 à notre montre, tous les passagers ont déjà pris place sur leurs sièges respectifs. Le bus est en marche. L’hôtesse à bord, rentre dans une cabine où elle a accès à son micro pour communiquer avec les passagers sur chaque étape du voyage. Comme le dirait l’autre exactement comme dans un avion. Dans cette cabine se trouve deux conducteurs professionnels qui doivent se relayer durant la traversée vers la ville de Sya. Il est 7h30, le bus franchit la grande entrée de la gare. C’est le trajet qui s’annonce. « Pas de place pour les retardataires », s’exclame notre voisin. Très vite les consignes de sécurité à bord du bus sont déclinées par l’hôtesse. Entre autres informations données, elle a demandé le port de la ceinture de sécurité, indiqué la durée du voyage tout en prenant le soin d’expliquer qu’un petit déjeuner sera offert à bord. Cette dernière information, a également retenu notre attention d’autant plus que le ventre est creux depuis la veille et avec le voyage très matinal, il faut absolument mettre quelque chose sous la dent. He oui ! Un petit déjeuner est offert à bord et le client a la latitude de consommer des boissons fraiches à bord à des prix modiques de 800 et 500 FCFA en fonction du genre de boisson demandée. L’autre pan très important consiste en l’existence des toilettes soigneusement maintenues propres au profit des passagers durant le trajet. Notre passager de départ, Stanislas Ouédraogo, confortablement assis sur son siège 30, suit tranquillement les annonces faites sur Elitis Tv où passent également en images les consignes de sécurité, les informations diverses relatives à la compagnie de transport, des films, de la musique nationale et internationale. « . Il s’agit pour nous de joindre l’utile à l’agréable. Je voyage pour mes affaires à Bobo Dioulasso et durant le trajet je ne m’ennuie pas. Je ne pouvais pas demander mieux. Ici à Elitis EXPRESS vraiment c’est la passion du voyage» comme l’indique le slogan de la compagnie de transport, nous a lâché ce passager visiblement fidèle à la compagnie.
Une fois en plein trajet suite à une escale à la gare annexe sis à Boulmiougou non loin de la mairie de l’arrondissement 8 pour l’embarquement des passagers de cette gare, le repas est servi. Il est temps de se régaler. Des gâteaux bien délicieux, croustillants et du croissant accompagné d’une tasse de café ou de thé au choix, nous sont servis par l’hôtesse. Une place commode est prévue sur le siège de l’avant afin de servir de table pour manger. Curieux, nous cherchons à savoir si c’est le même repas qui est servi à tout moment ? L’hôtesse nous informe que les repas varient en fonction des heures et sont composés de mets locaux le plus souvent. Rassurés, nous commençons à avaler nos morceaux avant de prendre place pour continuer dans un sommeil ou suivre les variétés musicales ou les films diffusés. De toute façon nous avons le choix. Cependant, avec le café consommé, plus besoin de sommeil. Ainsi, nous suivions les musiques sur l’écran de Elitis Tv. Nous remarquons que deux sièges à l’avant sont occupés par des enfants. En effet, deux enfants assis ensemble et un autre assis seul.
Les enfants mineurs voyagent en toute quiétude sans leurs parents avec la compagnie
Renseignement pris auprès de l’hôtesse pour comprendre si les enfants sont accompagnés ou pas au regard de leur âge variant apparemment entre 8 ans pour l’un et 10 ans pour les deux autres, l’hôtesse a répondu que ce sont des enfants confiés à la compagnie de transport et qu’il lui appartient de veiller et d’être à leur petits soins tout le long du voyage. C’est le E-Kids de Elitis EXPRESS, un système de transport des enfants mineurs sans les parents, nous informe t-elle.« La compagnie a initié d’assurer le transport des enfants même sans leurs parents en bonne et due forme à destination à condition que les parents signent l’engagement parental. Les parents au départ signent l’accord parental et les parents à l’accueil qui doivent recevoir l’enfant également signent avant que les enfants ne regagnent les domiciles d’accueil. C’est une innovation qui permet que les enfants de 3 ans à 14 ans voire 15 ans, puissent voyager en toute quiétude avec la compagnie de transport Elitis EXPRESS», a témoigné l’hôtesse. « Au cours du présent voyage, il y a au moins 10 enfants de la tranche d’âge de 8 à 12 ans sans leurs parents. Nous les conduisons à bon port sans aucun souci », a poursuivi l’hôtesse. Peu après quelques moments, l’hôtesse annonce notre arrivée à Boromo, la ville à mi-chemin entre Ouagadougou et Bobo-Dioulasso. L’hôtesse annonce qu’il y aura une petite escale, la seule durant tout le trajet juste pour que les chauffeurs se relaient au volant. Parlant de chauffeurs, la société déploie deux pour chaque voyage. Est-ce cela le secret de la sécurité routière avec la compagnie ? Pour comprendre tout ceci, nous nous adressions à un des chauffeurs qui acceptent nous témoigner.
La sécurité routière de mise : « Le bus est plombé et ne peut faire des vitesses excessives »
La sécurité et la quiétude du passager constituent une des préoccupations qui nous taraudent l’esprit. Un des chauffeurs du jour, n’hésite pas à répondre à nos questions. « La sécurité est la chose la plus importante dans notre travail. Nous sommes des chauffeurs de profession et dans notre contrat il est clair que nous devons éviter l’amateurisme notamment le dépassement sur les voies lorsque la route n’est pas dégagée . Nous nous assistons durant la traversée afin de nous nous conseiller mutuellement. Cela permet d’éviter beaucoup de dangers. Nous évitons les vitesses excessives. De toute façon, nos cars sont plombés et nous allons à une vitesse raisonnable de sorte à arriver à destination sain et sauf au grand bonheur de tous les passagers à bord. Nous avons au maximum 5h30 à faire sur la voie lors des voyages entre Ouagadougou et Bobo-Dioulasso. Chaque chauffeur met tout en œuvre pour le respect strict des consignes de sécurité au grand bonheur des passagers » a relaté Djibo, le chauffeur. A peine nous avons fini nos échanges avec le conducteur que l’hôtesse communique notre arrivée à Houndé. Nous sommes à une centaine de kilomètres de la ville de Sya. La pluie matinale qui a débuté depuis la capitale Burkinabè continuait et arrosait le chef-lieu de la province du Tuy. Il est 12h passé de quelques minutes. C’est la dernière ligne droite que nous abordions pour nous rendre dans la ville de Sya. Notre passager Stanislas Ouédraogo, confortablement installé au siège 30 sommeille et ne peut répondre à nos questions. Nous attendons l’arrivée à Bobo-Dioulasso pour nous entretenir avec lui. Pendant ce temps, nous contemplions le beau paysage reverdi et boisé en raison de la saison hivernale qui s’est installée depuis quelques mois. Les véhicules se concurrençaient sur « la nationale Une », chacun allant à son rythme. Pour voir la nature, il faut tirer les « stores » qui couvrent les vitres du bus. Ces « stores » protègent les passagers des rayons solaires qui peuvent transpercer les vitres par moment en fonction du degré de canicule insufflé par le soleil. Nous sollicitons entre-temps l’hôtesse à travers les boutons situés en haut du bus afin de l’alerter que nous avons besoin de ses services. Très promptement, celle-ci avance vers notre siège et nous questionne gentiment si nous l’avons appelé. En hochant la tête, nous lui répondons par l’affirmative et lui passons notre commande d’une boisson fraîche en canette. La boisson est servie. Les déchets peuvent être gardés dans un filet incorporé au siège de l’avant juste devant nous. Une fois à Bobo-Dioulasso, ces déchets sont colmatés par l’hôtesse qui les jette dans la grande poubelle à cet effet. En attendant sur l’écran de Elitis Tv, une bande dessinée passe pour permettre aussi bien aux tout-petits qu’aux adultes de trouver leur compte. Le trajet n’est pas du tout enquiquinant dans notre bus malgré la distance de plus de 300 kilomètres à parcourir depuis Ouagadougou. Bobo-Dioulasso s’annonce, nous sommes à l’entrée. Les pancartes publicitaires sont parsemées le long du portail de la ville de Sya. Le rond-point de la femme est dépassé et nous nous dirigions vers le Palais de la Culture Anselme Titama Sanou de Bobo-Dioulasso. Notre bus stationne à la gare de Bobo-Dioulasso sis au secteur 5. A l’arrivée l’hôtesse comme à l’accoutumée ne saute aucune étape. Elle procède à l’annonce et demande aux passagers de rester assis juste le temps que le car stationne correctement. Courtois les passagers respectent les consignes sans broncher puisque de toute façon il va de leur sécurité. A la descente, nous échangions avec notre passager de départ. Stanislas Ouédraogo est très satisfait du voyage et n’hésite pas à le dire à notre microphone.
Elitis est une aubaine pour la clientèle Burkinabè
« J’ai effectué un voyage impeccable. Lorsqu’il s’agit de voyager à l’intérieur du pays notamment à Bobo-Dioulasso, mon choix est très clair. C’est Elitis EXPRESS et je n’ai jamais regretté mon choix sur cette compagnie en dépit de la pléthore de société de transport qui existe sur le landernau du transport routier au Burkina Faso. Nous disposons de tout le confort à l’intérieur du bus surtout avec les hôtesses qui se tiennent toujours prêtes et qui sont au petit soin des passagers à bord. Je tiens à féliciter l’initiateur de cette compagnie qui a osé inventer les choses pour réaliser les rêves de la clientèle. En matière de transport routier, nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper que c’est l’une des rares premières. J’entends parler du professionnalisme et de la rigueur au travail du promoteur Roland Sow. Que Dieu le fortifie dans ses œuvres. Nous devons encourager des promoteurs de ce genre qui se démarquent et qui font la fierté nationale. Dans la sous-région avec Elitis EXPRESS, nous n’avons pas à rougir. Au contraire, c’est une aubaine pour la clientèle Burkinabè. J’invite ceux qui doutent d’essayer une fois un voyage avec Elitis et ils seront toujours fidèles. C’est la qualité des services qui retient dans cette compagnie », a expliqué Stanislas Ouédraogo.
Un clin d’œil au promoteur de la compagnie Roland Achille Sow
Mme KI/Odette Ouédraogo est l’une des passagères qui nous a confié la même chose. Pour elle, Elitis est la réplique de l’aviation en matière de transport routier. « Nous avons l’impression de voyager par vol tant les services de Elitis EXPRESS ressemblent à ceux des aéroports. Que ce soit la commande des billets au voyage en passant par l’embarquement, il y a une réplique parfaite du système des aéronefs. Nous disons qu’il s’agit de l’avion par terre.
J’ai plusieurs connaissances qui empruntent cette compagnie et chaque fois, ils se disent satisfaits des services et n’hésitent pas à continuer leur aventure de déplacement avec cette société. Nous témoignons toutes nos congratulations au promoteur Roland Sow et prions qu’il puisse avoir la force de continuer son travail. Nous souhaitons qu’il élargisse ces lignes de voyage dans la sous-région par exemple Ouaga-Abidjan, Ouaga-Accra, Ouaga-Bamako et autres », a témoigné Odette KI/ Ouédraogo. Le moins que l’on puisse dire c’est que vraiment comme l’indique le slogan de la compagnie elle-même avec Elitis EXPRESS c’est vraiment « la passion du voyage ». Tout passionné de voyage peut le vivre. A vos marques donc !
A la découverte de l’hôtel Sissiman
Une fois à destination Bobo-Dioulasso, nous avons séjourné à l’hôtel Sissima sis au secteur 5 à proximité du Palais de la Culture Anselme Titama Sanou. L’aventure a donc continué dans ce merveilleux hôtel qui fait la fierté de la ville de Sya en accueillant les hôtes nationaux comme internationaux. C’est un véhicule affrété pour faire la navette, qui nous transporte à l’hôtel. Un chauffeur bien courtois qui nous aide à débarquer nos bagages. Il y a une fouille à l’entrée principale de l’hôtel. Il s’agit d’une double fouille qui concerne aussi bien le physique et surtout les valises en vue de se rassurer qu’il n’y a pas d’objets nuisibles à la cohabitation pacifique. Une fois, cette étape franchie après le travail de la gendarmerie, ce sont les gazons parsemés dans la cour de l’hôtel qui nous font sentir la fraicheur des lieux.
Des clients sont sur la pelouse qui nous accueille, d’autres dans un bar dénommé « bar américain » fait de façon exotique comme les bars des cow boys américains. Un personnel de l’hôtel prend le relais du chauffeur et récupère nos effets. Ce dernier nous laisse à la réception où un homme nous accueille chaleureusement et nous fait remplir les fiches avant l’occupation de notre chambre. Une carte électronique nous est remise. Cette carte n’est rien d’autre que la clé d’accès à la chambre 16 où nous avons déposé notre valise. L’intérieur peint en rose avec une douche spacieuse munie de baignoire. Nous nous y sentons bien déjà.
La chambre nous rappelle, une chambre occupée dans un hôtel huppé pour ne pas le nommer El Aurassi sis à Alger lors d’un séjour bref dans la capitale algérienne. Des armoires bien rangés et un lit bien dressé qui donne envie du repos. Nous déposons nos bagages et rapidement, il faut se rendre au restaurant pour se mettre à table. Le ventre est encore creux après le croissant et les gâteaux du matin dans le bus. La responsable du restaurant Sib Renelle nous décline, les principaux mets à savoir le gigot d’agneau, le capitaine d’Iron Baby à l’honneur du champion mondial du lift qui aime à manger ce met à chaque passage à l’hôtel Sissima.
Une longue liste de repas nous ait présentée. Nous nous empressons de prendre d’abord de la soupe de poisson avec du couscous de manioc communément appelé « attiéké ». Au dîner nous allons déguster les autres plats à nous proposés. C’est ce qui a été fait. Très diligente, Sib Renelle nous laisse le choix du lieu où nous voulons nous installer pour manger.
Nous pouvons manger soit au bar américain, sur les gazons au bord de la petite piscine, dans la chambre ou au bord de la grande piscine en bas ou en haut, ou carrément dans le restaurant climatisé. Le choix du lieu dépend simplement de notre propre convenance. En ce qui nous concerne nous avons choisi le restaurant climatisé puisqu’une fine pluie reconnue au mois d’août s’abattait sur la capitale économique. Le met était bien succulent. Peu après le maitre d’hôtel Mandole Palenfo se présente. Curieux, nous lui demandons de nous faire visiter les différents départements de l’hôtel. Il nous conduit dans le salon VIP bien aéré et éclairé la nuit, dans la salle de conférences d’une capacité de 200 places, dans la salle de Gym, dans l’aire des enfants, au bord de la petite piscine et de la grande piscine. L’hôtel Sissima est nanti de 64 chambres, nous confie le maître d’hôtel. Il y a une salle à petit déjeuner situé au 5e étage qui donne une vue panoramique sur la ville de Bobo-Dioulasso de jour comme de nuit. Le maître d’hôtel est l’un du personnel qui a vu naitre l’hôtel qui était au départ résidence Sissima avant de s’agrandir au fur et à mesure au cours des années. Aujourd’hui c’est un bâtiment majestueux et imposant qui abrite l’hôtel Sissima en raison de la qualité des services offerts à la clientèle devenue fidèle.
Ce n’est pas Julien Saré, ingénieur électromécanicien et directeur général de Saré Technologie qui dira le contraire. Celui-ci est devenu fidèle à l’hôtel au cours des années depuis 2014. Auparavant Julien Saré fréquentait un autre hôtel. Lorsqu’il s’est rendu compte qu’une résidence Sissima existe et que le promoteur était un Burkinabè, il a voulu expérimenter un séjour. Ainsi, son coup de cœur naitra puisqu’il découvre que l’accueil et la disponibilité du personnel est au rendez-vous, en sus du confort des chambres. Il devient fidèle et à chaque voyage sur la capitale économique, il n’hésite plus à y déposer sa valise durant son séjour.
« Nos préoccupations étaient comme des ordres pour le personnel » Julien Saré, PDG de Saré.
Label Technologie
« Mes préoccupations étaient comme des ordres pour le personnel. Au fur et à mesure que les années passaient, le cadre changeait, les services s’amélioraient. Les investissements faits sont à la hauteur des attentes de la clientèle. C’est mon avis et j’estime que les autres clients ne diront pas le contraire. Je pourrais même dire sans risque de me tromper qu’il s’agit du meilleur hôtel de Bobo. Si cet hôtel était à Ouagadougou, cela pourrait créer une certaine émulation et rajouter à la concurrence pour la qualité. L’hôtel est géré par un personnel qualifié. Le promoteur de l’hôtel monsieur Sow Roland a même employé entre-temps un expatrié, un français en qualité de Directeur d’exploitation afin que ce dernier puisse exprimer son expertise pour une meilleure promotion de l’hôtel. Il peut avoir des petits manquements mais pour l’essentiel on constate que les petits plats sont mis dans les grands pour la satisfaction de la clientèle », a relaté cet inconditionnel de l’hôtel, Julien Saré. Après cela, il a indiqué que le promoteur est à encourager dans le sens qu’en dépit du contexte sécuritaire et-social difficile, il se bat bec et ongle pour continuer de belles prestations et surtout de créer de l’emploi au profit de la jeunesse contribuant ainsi à l’émulation économique dans le pays. « En ce qui me concerne, je n’hésite pas à encourager nos partenaires à venir y loger », a laissé entendre Julien Saré.
Pour cet homme d’affaire, la corrélation prix-qualité est également appréciable en ce que sens que malgré le confort des chambres, les prix sont accessibles aux Burkinabè moyens. Les prix augmentent en fonction du standing de la chambre, des chambres single aux suites en passant par les chambres haut-standing. Le cadre est idéal et surtout propice à la concentration dans le cadre du travail. Il a exhorté le promoteur à continuer dans son élan d’innovation pour la satisfaction de la clientèle. « D’ores et déjà, il faut se réjouir du fait que le promoteur de l’hôtel est à l’écoute de la clientèle pour toujours améliorer. Il y a un seul cadre à Bobo-Dioulasso lors d’un séjour, c’est l’hôtel Sissiman qui capitalise des années d’expériences au profit de la clientèle », a lâché Julien Saré. Pour sa part Mandole Palenfo, le maitre d’hôtel de Sissiman estime que le secret de la réussite de l’hôtel reside essentiellement dans les rêves de son promoteur le PDG Roland Sow ainsi que le manager Remy Sow. Pour lui ce sont des dirigeants travailleurs qui ne connaissent ni les jours ouvrables ni les week-end. « S’ils ne sont pas au bureau pour le travail, c’est qu’ils sont malades sinon il n’y a pas d’autres raisons », a-t-il temoigné. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’une nuit à l’hôtel Sissiman en vaut vraiment la peine. En dehors du confort des chambres, il y a une cuisine exceptionnelle. Nous n’oublirons pas de sitôt le passage à la chambre 16 située au premier étage de l’hôtel. Les autres chambres certainement plus qu’à la hauteur. Alors à vous de découvrir !
Encadré :
Roland Achille Sow, Président directeur général de Elitis EXPRESS et du groupe Sissiman
« Cinq années d’expériences pour offrir des services de qualité à la clientèle dans un esprit d’amélioration de nos services »
Nous tenons à témoigner notre gratitude aux hommes de medias qui ont effectué le déplacement pour recueillir l’avis de nos clients qui nous sont chers et ce depuis 2017. L’axe Ouagadougou –Bobo-Dioulasso est la plus fréquentée pour les trafics et les déplacements des passagers. Il était de bon ton qu’une compagnie voit le jour pour prendre en compte les préoccupations de la clientèle en amont à partir de la réservation du billet, de l’embarquement jusqu’en aval avec le trajet en passant par le voyage même à travers une amélioration continue de la qualité de nos services. De sorte que chaque passager qui effectue un voyage, il ait l’envie de revenir tant que la satisfaction est au rendez-vous. La compagnie aura d’ici à novembre 2022, cinq années d’existence au service de sa clientèle. Il faut noter que durant ces années d’expériences dans le transport, nous avons été lauréats de deux prix d’excellence, le prix Burkinabé de la qualité, toute chose qui nous fortifie dans notre élan. De façon globale, nos clients sont satisfaits des services parce que nous mettons le client au centre de nos préoccupations. En dépit de tout, nous continuerons à innover pour le satisfecit des passagers et également de nos hôtes à l’hôtel Sissiman. Par exemple, l’hôtel Sissiman constitue l’un des joyaux qui contribue au développement du Burkina Faso en garantissant un bâtiment hôtelier bien convivial pour les touristes du grand Ouest du Burkina. C’est la preuve que les 400 collaborateurs du groupe Sissiman se battent quotidiennement pour offrir un service de qualité. Ainsi, nous apportons notre pierre au développement du Burkina tout en absorbant le taux de chômage qui mine au sein de la jeunesse du Burkina Faso. Notre entreprise assume sa part de responsabilité sociale à travers une grosse politique de soutien aux artistes, l’accompagnement des partenaires et des petites entreprises via le projet dénommé « pupitre des entreprises ». Nous avons par exemple un projet avec Bf1 et avec bien d’autres partenaires. Quant aux souhaits émis par les passagers relativement à l’extension des lignes de voyage de Elitis EXPRESS à l’extérieur du Burkina, nous leur rassurons que nous y réfléchissons et espérons qu’incessamment cela sera pris en compte au grand bonheur de tous les acteurs nationaux et internationaux. Nous remercions nos partenaires qui nous accompagnent à réussir nos œuvres et nous espérons pouvoir poursuivre ses services au profit de la clientèle pendant longtemps. Nous faisons en sorte que lorsqu’on voyage avec Elitis EXPRESS, on ait l’envie d’y revenir. C’est cela notre sacerdoce.
Par ailleurs, nous souhaitons que le Burkina Faso retrouve la paix et la sécurité et que les citoyens puissent aller et venir en toute quiétude sur l’ensemble du territoire national. Pour ce faire, nous exhortons nos Forces de défense et de sécurité dans leur mission noble de sécurisation du territoire et implorons Dieu pour qu’il les assiste à se battre jour et nuit pour assurer la sécurité des biens et des personnes dans notre pays. Dieu bénisse le Burkina Faso.
Remy Sow, Directeur général de l’hôtel Sissiman
« Nous faisons en sorte que toute la clientèle se sente à l’hôtel comme chez soi »
Comme vous l’avez si bien mentionné dans votre question, l’hôtel Sissiman offre plusieurs prestations à savoir les salles de conférences, la salle de fitness, les aires de jeu, la restauration assez variée selon le goût de la clientèle, bien sur les chambres de séjour. Le secret c’est essentiellement la vision du Président directeur général Roland Sow qui est la tête de proue de ce beau projet que vous voyez à Sissiman. Il est dans l’anticipation, toujours entrain d’imaginer pour innover et améliorer l’existant. Il y a l’abnégation au travail à travers une présence continue tous les jours afin de procéder à des réglages des manquements au grand satisfecit de la clientèle. Nous mettons l’accent sur la formation en vue de rendre plus professionnel le personnel de l’hôtel via l’accueil, la qualité des services. Il s’agit pour nous de faire en sorte que chaque client qui vienne à l’hôtel puisse trouver son compte, se sentir bien comme chez lui. Nous prenons en compte l’ensemble de nos clients cosmopolites y compris les expatriés pour une satisfaction maximale. Nous mettons également l’accent sur le tourisme local en encourageant la visite de l’hôtel par les nationaux et en nous adaptant au besoin de la clientèle. Chaque client qui séjourne à Sissiman peut trouver son compte sur le plan du travail, de la distraction, de la restauration et nous n’oublions pas les tout petits avec l’aire de jeu qui est prévu à cet effet.
Certes avec les difficultés sécuritaires, il y a une relative régression du tourisme fort heureusement avec l’aviation également, l’hôtel continue de recevoir ces clients et travaille de jour comme de nuit pour leur satisfaction. En matière de restauration en plus des multiples mets que peut bénéficier la clientèle, il y a une pizzeria qui fait également un travail formidable. Nous souhaitons la paix dans notre pays tout en exhortant nos forces de défense et de sécurité dans leur travail noble afin que la liberté d’aller et venir dans la quiétude soit la chose la mieux partagée au Burkina Faso. Je vous remercie pour l’intérêt que vous avez accordé à votre hôtel.
Sandrine TRAORE, responsable commercial et marketing de Elitis EXPRESS
« Elitis EXPRESS a pratiquement révolutionné le secteur du transport au Burkina Faso »
A travers les différentes innovations engagées par la société, Elitis EXPRESS, a pratiquement révolutionné le secteur du transport au Burkina Faso. Les différentes commodités mises en place au sein de la compagnie n’ont véritablement pas d’égale. Nous mettons tout en œuvre pour être phase avec les exigences de la clientèle à travers la réservation des billets à distance via les technologies de communication, le call center qui permet d’informer permanemment, le client. Nous avons plusieurs moyens de paiement du billet à distance, il y a la réception automatiquement de la version numérique du billet après l’achat. Sur la demande du passager, nous avons la possibilité de mettre un véhicule à sa disposition.
C’est dire donc qu’avec Elitis EXPRESS, le client suite à son transfert des frais du voyage, peut en quinze minutes, réserver son billet, obtenir la version numérique du billet avec la numérotation de sa place dans le bus. Ainsi, le passager fait économie de tout déplacement qui pourrait lui prendre du temps. En outre, la compagnie prend en compte de façon spécifique le voyage des enfants mineurs avec le E-Kids de la compagnie. Sachant que par moment les parents sont occupés, nous avons initié le voyage des enfants mineurs sans leurs parents à condition que le parent de départ signe la fiche de l’engagement parental comportant tous les renseignements relatifs à l’enfant et qu’arrivée le parent d’accueil signe également. En ce moment l’enfant voyage en toute sécurité avec notre société sans aucune inquiétude pour les parents. Ce sont nos hôtesses qui sont commises à la tâche pour surveiller et veiller pendant le voyage des enfants mineurs. Nous cherchons toujours à satisfaire les préoccupations de la clientèle. Pour ce qui concerne le volet sécuritaire, nous prenons en compte également le parking des engins et des voitures de nos clients. A l’entrée des gares, dès le départ, il y a la sécurité qui procède à des fouilles pour éviter tous désagréments. Les calmeras de surveillance sont en marche pour toute traçabilité sans oublier que les bagages sont étiquetés sous le numéro du billet du passager jusqu’à la mise en soute afin d’éviter toutes pertes ou toutes confusions de bagages des passagers.
✍️by Somborignan Kissangoulé