Les conférenciers du Centre pour la Gouvernance Démocratique Burkina Faso (CGD) dans leurs traditionnelle Dialogue Démocratique, ont dépeint la situation sociopolitique actuelle du pays des hommes intègres, ce mardi 24 Mai 2022 à Ouagadougou.
100 jours de Damiba, le Centre pour la Gouvernance Démocratique du Burkina Faso n’a pas voulu rester en marge des critiques. Les analystes n’ont pas manqué de relever les insuffisances sur le plan sécuritaire.
Pour les conférenciers, même les zones qui n’avaient jamais été atteint sous l’ancien régime par le terrorisme, sont actuellement englouties et le nombre de PDI continu de s’accroitre avec son lot de germes de crise humanitaire.
« Bourzanga en dehors de la commune elle même n’a plus de village dans lequel quelqu’un peut répondre présent« , a soutenu le présidium.
A entendre les conférenciers du jour, il y a eu beaucoup de laisser faire si bien que ça devient plus difficile.
Pour y parvenir, L’Etat de droit, le bon exemple, une gouvernance vertueuse, honnête, une véritable cohésion sociale entre les FDS l’augmentation de la puissance de feu des FDS.
« Si des terroristes ont le courage de venir attaquer les bases des FDS avec des PKMS il ne faut du tout pas hésiter avec l’augmentation de la puissance de feu de nos hommes. Dans cette transition où notre pays est à la croisée des chemins, le président Damiba n’a pas droit à l’erreur. Vivement que la peur change de camp », a souhaité, le capitaine Alissi Ouédraogo.
Il convient de noter que c’est sur des notes d’espoirs et de foi que cette conférence de la CGD s’est soldée.
✍️M.B