Communication de souveraineté : Naquit la COJUS pour soutenir l’autorité dans ce sen
Les responsables de la Coalition des Journalistes Unis pour la Souveraineté (COJUS) ont animé une conférence de presse consacrée à sa présentation aux journalistes, ce mardi 21 mai 2024 à Ouagadougou.
Travailler à renforcer l’image de marque de la nation pour un rayonnement national et international ; sensibiliser le public et les citoyens pour une adhésion populaire et massive aux décisions patriotiques du gouvernement de la transition, créer une synergie d’action entre tous les confrères journalistes afin de jouer activement un rôle dans la défense d’un Burkina totalement souverain ; servir d’organe de référence pour l’action citoyenne des journalistes dans la lutte contre le terrorisme pour la libération totale du territoire ou sur d’autres sujets de préoccupation nationale ; accompagner les autorités dans leurs efforts quotidiens pour la quête d’une souveraineté véritable et travailler à minimiser l’impact néfaste des actions négatives sur la nouvelle dynamique impulsée par les autorités, sont entre autres les objectifs qu’attendent poursuivre les responsables de la Coalition des Journalistes Unis pour la Souveraineté (COJUS), lors de sa présentation aux journalistes, ce mardi 21 mai 2024 à Ouagadougou.
Selon Assane BAGAYA, président pour cette nouvelle coalition, la COJUS face à l’intérêt supérieur de notre patrie, face à la liberté de nos peuples contre l’asservissement, face à l’intransigeance de notre souveraineté nationale, le parti-pris du journaliste est absolument légitime. « N’est-ce pas là le sens même de la responsabilité sociale du journaliste qui lui suggère de tordre le cou aux principes pour servir la cohésion sociale, l’intérêt général et la cause nationale ? C’est dans le but de matérialiser ce soutien au gouvernement de la Transition et au Chef de l’Etat le capitaine Ibrahim Traoré pour le bien de la nation que nous avons mis en place la Coalition des Journalistes Unis pour la Souveraineté en abrégé COJUS.» , a-t-il justifié.
Pour les conférenciers, leur coalition est apolitique et ouverte à tous les hommes et femmes de médias et à tous les citoyens sans exception. L’adhésion est également libre avec pour obligation le respect de ses principes de fonctionnement et ses valeurs organisationnelles.
« Le programme de nos activités : la COJUS s’active pour l’installation de ses instruments stratégiques et des activités suivantes : nous procéderons dans les jours à venir à la mise en place d’un grand réseau d’information animé par des centaines de journalistes à travers le Burkina à l’occurrence nos membres adhérents. Ce réseau d’information utilisera un site web d’information, une webradio, un web TV, une page Facebook et d’autres canaux appropriés pour faire passer nos messages, promouvoir nos actions et pour l’atteinte de nos objectifs. Le but de ses instruments d’information est de communiquer pour le bien du Burkina et promouvoir les informations qui valorisent l’image de notre pays. Nous allons ouvrir le débat et y participer pour neutraliser les velléités de communication entreprise par certains pays contre le Burkina Faso. Lors de son dernier grand oral face à la presse, le Chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré parlant des auteurs de ces communications nuisibles disait, « C’est normal, ils communiquent pour leur pays, il appartient à nos journalistes de ne pas tomber dans le piège », a décrit le SG Guirou Pascal.
Interrogés sur la naissance de la coalition, les conférenciers du jour par la voix de leur président répliquent en ces termes : « La COJUS vient de naître, nous avions déjà déposé nos dossiers pour sa reconnaissance juridique, mais dès la loi t’interdit pas non plus l’exercice de nos activités…».
✍️ Mahomed7