Les chefs d’État de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sont en sommet extraordinaire, depuis la matinée de ce dimanche 07 novembre 2021 à Accra, dans la capitale Ghanéenne. Sur la table des plusieurs dossiers de coopération traitant du climat politique, sécuritaire et ou sous-régionale actuellement. C’est ainsi que la sujet d’organisation des élections libre démocratique et transparent souhaité par la CEDEAO, au Mali a été passer en revue y compris le cas actuelle de la guinée.
Les émissaires de l’instance sous-régionale n’ont eu autre choix que de durcir une fois de plus les sanctions individuelles à l’endroit du mali et de la guinée, afin que ses règles démocratiques souhaitées soient appliquées le plus tôt possible, au plaisir des peuples de ces deux contrés.
Ce ferme ton en découle des discordes qui sont que, pendant que la CEDEAO, elle exige la tenue des élections en février prochain, l’autorité Malien, lui persiste qu’il ne peut pas tenir les élections présidentielle et législatives en février 2022, comme prévu, dans une lettre officielle adressée à l’instance.
Le durcissement des sanctions individuelles contre ses dirigeants et les dirigeants guinéens est la décision qui a donc prévalu après des échanges à huit clos entre les différents chefs d’État à ce sommet extraordinaire.
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