Le Directeur Général de SANK-BUSINESS, Dramane Kiendrebéogo et son PDG, Jules Kader Kaboré ont présenté aux journalistes, ce mercredi 1er décembre 2021à Ouagadougou, ce système de transfert d’argent purement burkinabè à l’occasion d’une conférence de présentation officielle.
Sank-Business, Pour Votre Liberté Financière !» est donc le slogan choisi par les initiateurs de sank-Business. Sank est né à la base d’un constat de développeur et aujourd’hui il a sans doute perturbé le monde du transfert mobile au Burkina Faso, s’est réjouit son Jules Kader Kaboré, celui là même qui a conçu le système. « Notre objectif est de travailler pour que chaque burkinabè du dernier village du pays puisse être libre dans ses transferts d’argent avec Sank Transfert. Pour ce faire nous existons déjà dans plus de 30 villes du Burkina Faso et un minimum de dépôt de 10.000F CFA suivi des identités du demandeur suffisent pour l’ouverture d’une boutique ou agence Sank-Transfert. La carte Sank est accessible tout demandeur peut passé au siège pour s’en offrir.
Aussi les conférenciers ont présenté Sank Entreprise Platform, un Logiciel de gestion à la porté des tenanciers de maquis, Bars, Restaurant et commerce général.
Aux dires de DG, la carte Sank est synchronisée au compte Sank de l’intéressé, elle fonctionnant partout et permettant de faire les transaction en toute sécurité, avec le Terminal Sank. Un système qui pour eux attend mettre fin désormais aux questions de manque de monnaie et les pertes due aux faux billets. « Notre vision à Sank-business est de faire en sorte que le Burkina Faso fasse parti des pays africains à économie purement digitale d’ici à 2025.».
Outres, si vous faites une transaction à un compte hors Sank, vous avez possibilité d’annuler la transaction et l’argent revient dans votée compte sans aucun frais. Aussi l’intéressé de la transaction en question à l’option d’appeler au siège pour la résolution de ses difficultés. Faite vos transactions gratuites sans frais à compter de demain jusqu’au 5 janvier, car vous avez crue à nous, vous nous avez soutenus…»
Par Mamourou BENAO