Les membres du REMAPSEN,Burkina ont abordé la question de l’influence des médias sociaux sur la traduction des connaissances en atelier d’information avec SOS-JD à travers sa plate-forme Share-net, ce jeudi 21 décembre à Ouagadougou.
Le ton d’ouverture des travaux a été donné par Mme Sawadogo Bénédicte en sa qualité de vice-président continental du REMAPSEN siégé en Côte d’Ivoire.
Un ton d’ouverture essentiellement axé sur les remerciements du REMAPSEN à son premier partenaire SOS-JD qui pour elle ne ménage aucun effort pour répondre présent à l’appel du réseau. « A chaque fois que nous avions tapé à votre porte, vous nous ouvrez ! Et pour moi, ce partenariat est à saluer et je vous remercie énormément pour cette considération. Pour notre part, nous vous réitérons l’engagement a porter plus haut ce beau partenariat », a-t-elle apprécié avant d’ordonner le début des échanges.
Coordinatrice de Share-net, Zalissa Bandé a d’emblée félicité une fois de plus la mobilisation du réseau REMAPSEN pour notre cause autour des questions de SSR. « C’est vrai qu’à chaque fois que vous tapez nous ouvrons, mais c’est parce que nous aussi trouvions notre compte. Le partenariat est donc gagnant-gagnant et nous espérions encore meilleur pour l’avenir…» , a-t-elle apprécié à son tour.
Portés sur deux communications au déroulement, livrées par Mme Sebgo Marie-Danielle spécialiste en gestion de transfert des connaissances, les échanges ont été fructueux et longuement axés sur les enjeux du traitement de l’information notamment celle liée aux questions sensibles comme la DSSR.
À sa suite, c’est la coordonnatrice de Share-net qui est revenu un peu sur les modes de fonctionnement de SOS-JD en termes d’informations et communication les questions en santé sexuelle et reproductive. À cette étape, Zalissa Bandé a fait un regard rétrospectif notamment sur la Gestion des connaissances (transmission du savoir par des canaux accessibles et fiables communautés de pratiques) ; l’utilisation de ses connaissances plaidoyer (changement de politiques et des pratiques), etc. Pour elle, les productions des journalistes sur le plaidoyer en termes de Santé Sexuels et Reproductifs (SSR) sont déjà appréciables ; et les présentes actions n’ont pas pour but de pérenniser ces acquis au mieux d’en engranger d’autres.
Coordonnateur national du REMAPSEN, Boureima SANGA s’est réjoui de cette énième conclave rendu possible grâce au partenaire, SOS-JD. « Le rôle des journalistes professionnels à l’image des membres du REMAPSEN, c’est de pouvoir travailler à contrecarrer la désinformation surtout celle en lien avec la SSR à l’orée des utilisateurs des réseaux sociaux qui ne laissent rien indifférent. Les membres participants à cet atelier son donc invité à mieux s’investir en ce sens », a invité le coordonnateur.
À l’issue les défis telles les difficultés d’accès aux sources habilités dont les ministères ont été soulignés assorti d’un commun accord entre les deux partenaires à s’investir pour de nouvels procédures de collecte, de diffusion et de partage des informations sociales à enjeu majeur pour meilleure compréhension pour toutes les couches. La conclusion a concerné les détails sur la vie du REMAPSEN et son partenariat d’avec SOS-JD, qui déjà roule en toute sécurité selon les deux entités.
✍️ Mahomed7