Le Conseil National de Jeunesse du Burkina Faso(CNJ/BF en collaboration avec le Ministère des sports de l’autonomisation des jeunes et de l’emploi a officiellement lancé les activités de la commémoration de la journée Internationale de la Jeunesse édition 2022, ce vendredi 12 Août 2022, au Palais de la Culture Jean Pierre GUINGANE de Ouagadougou.
Une présente édition placée sous le thème : « Promotion du sport et autonomisation des jeunes: facteurs de résilience face aux défis sécuritaires au Burkina Faso» qui a rassemblé plusieurs jeunes, leaders d’associations et ou, venus des 13 régions du Burkina Faso pour échanger non seulement sur les défis actuels auxquels fait face le pays des hommes intègres, mais également se pencher sur des préoccupations leurs concernant en vue d’envisager des solutions.
Instituée par la résolution A/RES/54/120 du 17 décembre 1999 de l’Assemblée Générale des Nation-Unies, à laquelle le Burkina a souscrit et qui est commémorée par la communauté internationale le 12 août de chaque année, c’est le Ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, Monsieur Abdoul Wabou DRABO qui a procédé au lancement des activités commémoratives de cette journée internationale de la Jeunesse, édition 2022.
C’est pourquoi en évoquant les problèmes actuels dont les préoccupations de la jeunesse burkinabè, le ministre DRABO a demandé aux participants des échanges francs et ouverts dans les débats car il s’engage à œuvrer pour l’application des dites recommandations qui seront issues de ces deux jours de travaux. « Nous commémorons cette journée dans un contexte particulier à l’appel du président de la jeunesse prête a s’engager dans cette lutte contre le terrorisme. Nous avons interpellé les participants d’avoir un débat francs a même de traduire leurs réels besoins au sortir de ces travaux pour…», a-t-il indiqué.
Le président du CNJ/BF Moumouni DIALA lui a une fois de plus plaidé auprès de l’autorité pour une prise en compte conséquente des préoccupations de la jeunesse burkinabè au vue de la rendre plus efficace, disponible a même de pouvoir mieux s’engager dans la lutte contre le terrorisme.
Pour ce faire dit-il, il faudra pas que l’autorité continue de traiter avec négligence ces besoins. « Quand vous prenez cette jeunesse burkinabè elle a principalement des préoccupations allant de la formation, la recherche de l’emploi, son implication dans les sphères de prise de décision. Mais aussi et surtout comment la structurée afin qu’elle puisse s’engager dans la lutte contre le terrorisme, surtout dans un contexte où elle est à la fois acteur et victime », a plaidé le président DIALA.
✍️M.B