Les premiers responsables de l’Association Burkina Gand-Taaba Souli watane panga membre qui est une entité de le CLP ont animé une conférence de presse ce dimanche 16 juillet au siège de le CLP à Ouagadougou.
« Celui qui pense qu’il peut organiser des élections dans ces conditions qu’il se détrompent ! Les ennemis du Burkina Faso, les ennemis de la paix tout court, multiplient les manœuvres pour nous priver à tout prix, le droit de vivre en paix sur la terre de nos ancêtres. Nous saluons ici, la mémoire de nos combattants tombés sur le champ d’honneur : nous encourageons et félicitons les FDS et VDP pour leur patriotisme et leur professionnalisme et surtout leur engagement à défendre la mère patrie. Aujourd’hui, il est connu de tous que nos ennemis utilisent tous les canaux et systèmes pour parvenir à leur sale besogne : des activistes sans amour pour leur patrie et tapis dans des capitales occidentales, la presse internationale impérialiste à la solde de l’OTAN, des valets locaux nostalgiques de leur passé glorieux », a déclaré Alpha SEBGO SG de l’Association Burkina Gand-Taaba Souli watane panga, ce dimanche 16 juillet 2023 en conférence de presse à Ouagadougou. Une conférence de presse axée sur ces trois points qu’est la situation sécuritaire ; l’insolence de la CEDEAO ; et l’actionnariat populaire.
En effet selon le SG SEBGO, des individus qui ont tout gagné du peuple burkinabé se baladent dans des capitales occidentales pour vilipender leur propre pays. Cette sortie de son mouvement sert d’une mise en garde contre quiconque de savoir qu’ils sont les peuples burkinabés veille au grain. Il est aussi établi que l’ennemi cherche (mais vainement) à infiltrer tout le corps de notre société à travers les calomnies et mensonges dans le but de déstabiliser le pouvoir de la Transition. C’est pourquoi notre association invite le vaillant peuple burkinabé à se mobiliser davantage aux côtés du Président Ibrahim TRAORE et de son gouvernement pour la victoire très prochaine. «Nous invitons les autorités de la Transition à sceller rapidement une collaboration gagnant-gagnant avec les BRICS dans certains domaines d’émancipation de notre pays.. Nous touchons du bois, que toute personne qui croit posséder un plan de sortie de la crise, le communique au pouvoir en place : le peuple burkinabé lui sera très reconnaissant» a soutenu Djibril Sawadogo président d e ce mouvement qui parle aussi d’insolence de la CEDEAO vis-à-vis des peuples burkinabés, Maliens et Guinéens. La CEDEAO, dans ses errements, s’est donné le droit d’imposer un système de gouvernance aux trois (3) pays que sont le Burkina Faso, la Guinée et le Mali. En effet, poursuivant sur le sentier de son prédécesseur Umaro Sissoko Embalo, l’actuel président en exercice de la CEDEAO veut imposer une date butoir aux trois (3) pays pour organiser des élections, ont-ils fait savoir.
«Si la CEDEAO est si attachée aux élections, il serait plus intelligent et logique de sa part, d’aider avant tout, ces pays à se débarrasser de l’hydre terroriste qui provoque fréquemment des veuves et orphelins au Burkina et au Mali et y occasionne des millions de déplacés internes. C’est la condition sine quo non pour organiser des élections. » , prévient les conférenciers du jour, accompagné d’un appel à chaque Burkinabé à saisir l’opportunité de l’actionnariat populaire pour s’inscrire et faire inscrire des connaissances pour une indépendance économique et autosuffisance alimentaire véritable pour pays des hommes intègres.
✍️BBM