La Direction de la santé de la famille, avec l’appui technique et financier d’Ipas Afrique Francophone, du consortium EngenderHealth, Pathfinder, CAPSSR-BF et SOS-JD et de I’ABBEF, tient un atelier de 72 heures autour de l’évaluation de la durabilité de l’écosystème de la santé sexuelle et reproductive.
Le top départ des travaux a été effectué, ce mercredi 24 mai à Koudougou par le Dr Moussa DADJOARI, représentant la hiérarchie de la Direction de la santé de la famille (DSF) par ailleurs communicateur de cet atelier sur l’aperçu avortement en Afrique et au Burkina.
Sous ces deux casquettes Dr DADJOARI a invité l’ensemble des participants à de franches participations aux échanges afin que les résultats qui sortiront de cet atelier puissent avoir d’apport de solutions à la problématique posée.
De manière spécifique, il s’agira d’évaluer conjointement la durabilité de l’écosystème des DSSR y compris l’ISG selon la loi ; identifier et discuter des opportunités et des lacunes ; créer de nouveaux partenariats et collaborations au vu de renforcer ceux qui existent déjà.
Également, ce cadre auquel prend par l’AJCPD permettra aux acteurs aussi qu’aux participants de définir une vision commune afin d’orienter les programmes et les efforts futurs pour parvenir à un écosystème durable de l’effectivité des DSSR y compris l’ISG selon la loi ; et convenir d’un plan d’action consensuel réaliste pour la durabilité de l’écosystème de l’ISG selon la loi.
✍️ BENAO MAMOUROU pour l’AJCPD