Rien dans la vie ne me fait plus mal que lorsque par négligence, l’irréparable fini par se produire . Voilà encore une des palpables preuves affichant clairement qu’ici au Burkina Faso l’on ne veut rien comprendre et anticiper d’avance ou prévenir.
On fait toujours la sourde oreille et quand ce qui est longtemps prévenu fini par arriver en faveur de notre propre négligence, on crie au scandale et commencer à accuser X ou Y.
Pour parapher mon confrère de l’AIB : « Incendie au marché Sankaryaaré : le commerçant Rachid Diallo dénonce la prolifération de la vente des explosifs utilisés dans l’orpaillage. Le commerçant Sayouba Traoré se plaint du « sous-équipement » des pompiers…» , ça, c’est déjà tard même si regrettable. De vous à moi, sont-ils des dénonciations ou des interpellations qui ont manqué sur le cas Sankaryaaré? Je ne pense pas, je n’y crois même pas parce qu’une chose est sur ce matériel dont-ils dénoncent aujourd’hui parce que ce que sous le choc est sans doute le business de certains des leurs.
Ils sont bien au courant de ces produits aussi que le danger qu’ils en courent en les côtoyant de cette façon.
Malheureusement, l’occasion a été donnée au drame, au pire de se produire. Courage, à la où au victime*s, vivement qu’ils puissent recouvrir les pertes.
Félicitations au commandant de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers le lieutenant-colonel, Daba Naon qui a lui-même coordonne personnellement ces opérations, qui ont permis de freiner l’expansion des dégâts de cet incendie.
Apprenons a dénoncé pour éviter !
✍️La rédaction