Apprend-on d’une source digne que suit à la barbarie humaine survenue entre militaires et civils, ayant occasionner des blessés au sein des civils, la situation était tendue dans la ville de pô. Mécontents et déchaînés les riverains avaient déjà érigé des barrières à ne pas franchir.
Fort heureusement des émissaires venus de Ouaga dont l’honorable député Daouda Azoupiou natif de cette belle cité, ont joint leurs voix aux sages et autorités locales pour désamorcer bombe et plaider ensemble auprès de la jeunesse pour le pardon.
L’accalmie semble être actuellement au rendez-vous, mais conditionnée par des préalables nous relate cette source.
La prise en charge des blessés pendant 2 ans, un recensement de toutes les victimes suivi de leur dédommagement et des poursuites judiciaires ont été entre autres les conditions préalables posées par les populations, avant la levée des barrières.
Et au haut commissaire de la province du Nahouri de rassurer que, ces lots d’exigences seront transmis à qui de droit.
M.B